Mais que se passe-t-il si nous voulons à nouveau « sourire » ? Avec vos yeux, bien sûr. Heureusement, il existe une solution : la blépharoplastie. Voyons si elle peut être la solution pour vous. Découvrez dans cet article les différentes questions qu’on se pose avant de recourir à une blépharoplastie : https://24medicalnews.com/questions-blepharoplastie/ .
Les causes de cette imperfection.
Sans trop entrer dans les détails, parlons essentiellement des deux raisons les plus courantes :
- Âge. Comme toutes les imperfections de la peau, la gravité du problème tend à augmenter avec l’âge.
En vieillissant, la peau perd de sa tonicité et de sa fermeté. À cela s’ajoute la force de gravité, qui trouve de moins en moins de « résistance » dans les tissus et « tire » tout vers le bas.
Quelques conseils pour freiner cette évolution inévitable : « Comment rajeunir la peau du visage : voici ce que vous devez savoir ».
- Prédisposition génétique. Cela peut être compris comme :
Une propension à un vieillissement cutané plus précoce et plus accéléré, qui ne se limite bien sûr pas à la peau des yeux.
Une anatomie périoculaire propice à l’apparition de ce qui a été mentionné dans le paragraphe précédent.
La blépharoplastie en bref
Avant d’examiner ce qui, dans la vie de tous les jours, peut laisser penser qu’une blépharoplastie pourrait être nécessaire, jetons un bref coup d’œil à cette chirurgie.
L’objectif principal est d’éliminer l’excès de peau et/ou la protrusion de graisse péri-oculaire pour former des bourrelets plus connus sous le nom de « poches » de paupières.
Ces deux phénomènes peuvent se produire dans la paupière inférieure et supérieure.
Il s’agit souvent d’une opération effrayante, mais elle comporte peu d’incisions, parfois aucune. Les ecchymoses et les gonflements sont courants et deviennent peu ou pas perceptibles après quelques semaines.
Par souci d’exhaustivité, j’aimerais ajouter qu’il existe également des propositions non chirurgicales ou de médecine esthétique pour améliorer cette zone du visage. Disons qu’ils sont conseillés aux patients chez qui l’imperfection n’en est qu’à ses débuts, très modestes donc. À condition qu’ils soient conscients de ne pas avoir d’attentes excessives quant au résultat.