Avec cette pandémie mondiale, les médecins des quatre coins du monde ont émis des hypothèses et chacun a défendu la sienne. En ce qui concerne les chercheurs français, ils étaient partagés sur la manière de traiter les malades et s’il fallait mettre à la vente libre les médicaments à base de Sulfate d’hydroxychloroquine comme le plaquenil.
Pour ou contre la vente du plaquenil en pharmacie
Les antagonistes à la mise en ventre en libre-service de ce médicament défendaient l’idée selon laquelle que l’organisme se comporte différemment d’un individu à un autre. Ils disaient que ce genre de médicament doit être administré sous surveillance médicale. Si par malheur l’individu qui prend ce médicament se trouve à faire face à une insuffisance respiratoire ou autre malaise les médecins peuvent alors le prendre en charge.
L’auto médication est dangereuse et vouloir prendre l’’hydroxychloroquine pour se protéger du corona est aussi dangereux sans la prescription du médecin. C’est pourquoi des mesures du ministère de la santé ont été prises pour interdire la vente du plaquenil en pharmacie.
En effet, en France comme aux états unis, ce médicament n’est administré qu’en milieu hospitalier pour prendre en charge les patients. Toutefois, il a été démontré que ce médicament peut même avoir des effets néfastes dans certains cas de patients fragilisés par le covid-19 ou qui ont des problèmes vasculaires.
Mais l’interdiction de la vente d’un médicament en pharmacie est sujette à plusieurs controverses. Le ministre a même été sujet à des plaintes pour avoir interdit formellement la ventre du Plaquenil en pharmacie.
La question qui se pose est de savoir si les ministres ont le droit d’interdire ou d’imposer la vente d’un médicament aux dépens d’autres. Le débat est encore levé mais toujours est-il que les médicaments et les préparations à base d’hydroxychloroquine ne doivent être vendus que sous prescription d‘un médecin.