Bien qu’on soit au 21ème siècle, les gens lancent des fusées dans l’espace et en Afrique on continue à craindre le paludisme à cause des moustiques.
Et oui les moustiques continuent de trouver des lieux propices à leur reproduction. Plusieurs facteurs entrent en jeu, entre l’atmosphère qui est un peu trop humide, l’existence de brousse et de broussailles ainsi que des milieux humides comme des marais entrent en jeu.
Mis à part les conditions météorologiques, l’absence des moyens pour techniques pour éradiquer ces moustiques et les empêcher de se reproduire accentue leur propagation. Il faut mettre au point des techniques et distribuer des répulsifs anti insectes aux citoyens.
Le paludisme n’est plus seulement une maladie rurale
Traditionnellement, le paludisme se développe dans les villages, c’est une maladie rurale. Mais un nouveau type de moustique a fait son apparition en ville et possède la capacité de se reproduire dans les villes dans de l’eau propre. C’est le moustique tant redouté appelé Anopheles stephensi.
Les experts tirent la sonnette d’alarme aux gouvernements et aux pouvoirs publics de faire vite et éviter ainsi la propagation de cette maladie. L’Afrique compte 94% des décès suite au paludisme dans le monde. Les enfants de mois de 5 ans sont les plus touchés par cette maladie.
Il faut faire le nécessaire pour empêcher la mort d’enfants en Afrique à cause d’un moustique qui s’adapte et change de milieu et peut même rester actif pendant toute l’année. Aujourd’hui il est en Afrique, demain il peut migrer et toucher d’autres continents.
Soyons vigilants et faisons le nécessaire pour contrôler l’Anopheles stephensi dans les mois à venir, pas plus d’un an, sinon il sera trop tard et il va se répandre.